20 ANS DU PÉLICAN : la parole à nos abonnés

societe 20 ANS DU PÉLICAN : la parole à nos abonnés

Par La rédaction 01 février 2024 à 16h46

Philippe Rowland et Nicole Di Méo.

Pour cette édition anniversaire, nous avons donné la parole à nos lecteurs : Nicole Di Méo, LA première abonnée, Philippe Rowland, abonné de la première heure et enfin, Jean-Marc Vermot De Boisrolin, lecteur depuis 2007.

NICOLE DI MÉO
LA première abonnée
«Je me rappelle les débuts de Florence. Ils étaient difficiles et elle a été très courageuse. À l’époque le Pélican était vendu à la criée sur la route de Friar’s Bay et à Rambaud. Il a fallu qu’elle prouve que son journal était pertinent. Il s’agissait d’une femme qui n’était pas de Saint-Martin, qui n’était pas journaliste et qui rentrait dans un métier «d’hommes». Il fallait qu’elle soit considérée par ses pairs. Elle a eu des soucis. Beaucoup lui ont mis des bâtons dans les roues. Un jour, elle a même failli fermer son journal. Mais Florence voulait parler de Saint-Martin et de la population. Elle a toujours eu du respect pour cette île. Il a fallu qu’elle bataille, et elle l’a fait puisque vingt ans après, elle est toujours là».

PHILIPPE ROWLAND
Abonné de la première heure
«Depuis très longtemps, je lis le journal. Je lis toutes les presses locales, je suis également abonné au Daily Herald. J’aime être au courant de ce qui se passe sur le territoire. Aujourd’hui, j’ai encore plus de temps pour le consacrer à la presse afin d’avoir des avis différents. Je trouve que les articles du Pélican sont intéressants et permettent de prendre de la hauteur. J’achetais d’abord le journal dans la rue, avant de prendre un abonnement chez moi, et maintenant je le lis sur internet. J’ai suivi de près les efforts de Florence pour tenir à flot le journal, et ça n’a pas été facile».

JEAN-MARC VERMOT DE BOISROLIN
Lecteur depuis 2007
«J’ai entamé ma carrière dans le secteur de la finance et de la gestion de patrimoine avec succès, ayant fondé et dirigé plusieurs entreprises à Singapour, à Hong Kong, à Dubaï et en Afrique du Sud. Au fil des ans, alors que j'habitais à Singapour, j'ai vu Le Pélican se développer de plus en plus et innover régulièrement. Le journal a compté parmi les liens les plus vitaux pour moi avec ma terre natale, me tenant informé des nouvelles locales, des changements sociétaux et des mises à jour sur les amis d'enfance qui sont devenus des leaders influents ou des figures politiques. Il a toujours été poignant, apportant parfois de tristes nouvelles, mais me permettant toujours, en tant qu'incorrigible "ambassadeur" de Saint-Martin à l'étranger, de rester en contact avec ma terre natale. J'accorde beaucoup d'importance à la presse, en particulier à la presse locale qui contribue grandement au lien social, si important sur notre île».